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C’est votre première expérience en tant que réalisatrice ?

En effet ! J’ai aussi participé au scénario que nous avons repris, avec les acteurs, en apportant des modifications aux dialogues.

Qu’est-ce qui vous a attiré quand vous avez choisi de travailler sur ce feuilleton ?

C’est évidemment le côté patriotique et engagé de ce travail qui s’inscrit dans un contexte historique spécial. Le rôle des femmes se déploie dans toute sa grandeur au petit écran. Ce sont elles qui escaladent les montagnes, munies de leurs armes, et qui participent activement aux actes de résistance.

Est-ce que vous pensez que les jeunes générations, dont la vôtre, sont tenues à rendre hommage à ces femmes résistantes ?

C’est l’un des messages transmis à travers «Oued El Bey». Nous aspirons surtout à leur montrer tout ce que nos aïeux ont souffert pour la prospérité de notre pays et pour que nous jouissions du bien-être et de la stabilité que nous connaissons aujourd’hui. C’est une leçon autour de l’amour de cette patrie pour laquelle ils ont tout sacrifié.

Est-ce que le fait de situer les événements dans le passé impose des difficultés particulières par rapport à votre tâche de réalisatrice ?

Les costumes et les décors demandent évidemment un soin spécifique. Mais, concernant l’image et le rendu final, c’est tout un plaisir de ressusciter cette époque que j’apprécie particulièrement

Comme dispositifs de tournage, est-ce que vous avez eu recours à des moyens et des techniques spéciaux pour reconstruire des scènes du passé?

Il y a beaucoup de plans serrés comme je tiens à montrer de près les regards et les diverses expressions faciales. Il y a aussi des plans larges pour une immersion dans le monde du feuilleton à travers les décors. Nos caméras sont tantôt fixes, tantôt portées, en fonction des scènes à tourner.

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