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On parle beaucoup du pervers narcissique. Il est devenu le visage le plus connu de la toxicité relationnelle. Pourtant, toutes les relations épuisantes ne se résument pas à lui. D’autres profils, plus subtils, plus insidieux, s’immiscent dans nos vies et grignotent notre énergie sans bruit. Ces relations ne crient pas. Elles séduisent, rassurent, écoutent parfois trop. Et puis, peu à peu, elles nous font douter de nous-mêmes, de nos émotions, de notre valeur. Ce ne sont pas toujours des relations violentes, mais elles sont drainantes et laissent en nous une forme de brouillard intérieur.

Ce mois-ci, La Presse vous invite à explorer ces zones grises de la toxicité affective, celles que l’on ne voit pas venir. A travers une série de quatre portraits inspirés du coaching comportemental et de la psychologie relationnelle, nous mettrons en lumière ces profils qui sapent notre vitalité, tout en se cachant derrière des masques de douceur, de loyauté ou de bienveillance.

Objectif : reprendre le contrôle sur votre énergie émotionnelle, comprendre les mécanismes de ces liens qui vous usent et apprendre à vous en protéger sans rompre avec votre empathie.

Parce qu’on ne peut pas toujours changer les autres, mais on peut choisir de ne plus s’y perdre.

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